Un masque, une statuette
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- 2 avr. 2024
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Dernière mise à jour : 16 avr. 2024

Chers habitants de Laelith, chers citoyens des Hors ville et des Provinces du Haut Lac
Comme vous le savez probablement, la gamme Laelith s'accroît encore de deux suppléments : une campagne nommée "Les Gardiens silencieux", écrite par le talentueux Alexis Flamand ; et le livre que vous attendiez tous sur les Six Provinces du Lac des Hautes Eaux, ce dernier étant aussi accompagné d'une campagne nommée "La dernière frontière".
Pour clore en beauté cette précommande fantabuleuse dont le succès me fait chaud au cœur, l'heureux chef de projet que je suis vous offre un petit visuel en cadeau ! Il s’agit de la statuette d’un masque du Quatre fois saint Roi-Dieu de Laelith, le bien-aimé Nin Premier, loué soit-Il.
Cette mise en volume provient d'une petite histoire illustrée du livret de l’Impasse de l’Arbre de Tulé qui était offert avec l’écran de la gamme de base et a été réalisée par l'incroyable Stéphane Camosseto. Je vous invite à aller visiter son site : il est plein de merveilles.
© Jean-Marie Noël. 2024
Excellente analyse sur les masques rituels ! En tant que passionné d'histoire des civilisations, je voudrais apporter quelques éléments complémentaires sur cette thématique fascinante.
Les masques dans les sociétés antiques
Les masques rituels constituent l'un des éléments les plus universels de l'expression humaine. Dans l'Égypte antique, les masques funéraires servaient de protection spirituelle pour le défunt, garantissant son passage vers l'au-delà. Le fameux masque de Toutânkhamon illustre parfaitement cette fonction sacrée, avec ses incrustations d'or et de lapis-lazuli symbolisant la divinité.
En Grèce antique, les masques théâtraux transformaient littéralement l'acteur en personnage, permettant une amplification vocale grâce à leur forme évasée. Cette tradition perdure aujourd'hui dans nos représentations modernes, où l'art du déguisement reste central. D'ailleurs, pour les cérémonies contemporaines,…